Nouvelle campagne en 2021 👉https://www.wedogood.co/seatrackbox2/
SEATRACKBOX propose le seul boîtier au monde capable de tracer un container qui tombe à l’eau, n’importe où sur le globe. Ce système unique donne la localisation exacte des containers en mer, en flottaison, à mi-eau ou coulés.
52 215 € levés
104%
87 personnes ont investi 52 215 € pour propulser ce projet
Risque de perte intégrale de l'investissement. Retour sur investissement maximum : x3.
* Imposition : Prélèvement Forfaitaire Unique (flat tax) de 30% sur le bénéfice réalisé.
/ Présentation /
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Pitch
Nouvelle campagne en 2021 👉 https://www.wedogood.co/seatrackbox2/
SEATRACKBOX, la solution pour assurer la sécurité maritime de tous les navires et participer à la lutte contre la pollution de nos océans.
Un container à la mer ! En fait jusqu’à 10 000 chaque année. Heureusement pas de vie humaine en jeu. Quoique : les risques de collision avec un navire, quel qu’il soit, sont l’un des dangers majeurs de ce type d’incident.
Outre les inconvénients pour la navigation, la pêche ou l’environnement, ces OFNI (objets flottants non identifiés) représentent un coût exorbitant pour les services de l’Etat, les armateurs et les assurances, notamment parce que leur localisation est extrêmement difficile à opérer.
Un système permettant de suivre les containers en temps réel afin d’assurer leur gestion existe… mais uniquement lorsqu’ils sont à terre ou au bord des côtes.
Avec SEATRACKBOX, nous offrons un service beaucoup plus performant puisqu’en cas d’incident, grâce à ce système, nos clients connaîtront la position exacte des marchandises tombées à l’eau, qu’elles soient en flottaison, à mi-eau ou au fond de la mer.
SEATRACKBOX est la solution pour repérer les containers perdus en mer.
5 causes principales à la chute d’un container :
– Les conditions météocéaniques, notamment lorsque la navigation est inadaptée en cas de mauvais temps.
– Une opération de chargement défectueuse, provenant souvent du poids en excès ou mal réparti dans une pile de containers.
– Un arrimage hasardeux ou un saisissage (fixation des containers entre eux) insuffisant, par exemple lorsque les contraintes réglementaires en terme de hauteur de chargement ne sont pas respectées.
– Le navire lui-même est facteur de risque, si la stabilité est insuffisante, s’il est trop vétuste. On parle alors de « navire poubelle ».
– Le rejet volontaire de cargaisons par-dessus bord pour sauver un navire en danger.
Lorsqu’un container tombe à la mer, l’intervention pour le récupérer est délicate et coûte donc cher, d’abord parce que la localisation est difficile. On utilise généralement un aéronef pour repérer la marchandise, mais l’identification reste compliquée car le code container est le plus souvent invisible (cargaison souvent immergée).
Si toutefois le container est malgré tout localisé, reste encore à le remonter sur le navire ou le rapporter à terre. L’opération nécessite un hélicoptère pour harponner le frêt grâce à une balise Argos (balise de géolocalisation) et un navire pour le remorquage.
Une INTERVENTION qui s’élève environ à 200 000 € PAR CONTAINER.
200 000 € auxquels s’ajoutent les frais de traitement à quai.
Qui pour payer ?
L’armateur si la marchandise est dangereuse, et donc les assureurs.
L’Etat, si ce n’est pas le cas, cette mission de repêchage relevant du service public.
Les cas échéant, et en fonction de ses possibilités, le découvreur de l’épave (container à la dérive), sachant que suite à son intervention, il perçoit une indemnité financée par le propriétaire s’il peut-être identifié ou par la vente de l’épave, par l’intermédiaire de l’Etat.
SEATRACKBOX propose le seul boîtier capable de tracer un container qui tombe en mer, n’importe où sur le globe.
Un système de balise, accrochée au container, se déclenche lorsqu’il tombe à la mer. une plateforme centralisant les informations géolocalisées et pilotant un système d’alerte en temps réel. Pour certains clients, nous développerons un système permettant de repérer sur une carte les points de chute possibles d’un chargement tombé en mer qui n’aurait pas été équipé.
SOLUTION communicante universelle
FONCTIONNEMENT automatique du système
TRAÇABILITÉ de tout type d’objet en haute mer
SYSTÈME AMOVIBLE et INTERCHANGEABLE
Nous souhaitons lever 100 000 € pour financer le développement technique et commercial de notre boîtier dont le prototype est actuellement en cours de réalisation.
En échange de votre investissement, vous recevez tous les trimestres 1 % du chiffre d’affaires de SEATRACKBOX pendant 5 ans.
SEATRACKBOX est une SAS créée en 2017 au capital social de 1 000 €. Elle est représentée par 3 associés, Christophe Thomas, Alain Beauvy et Thibaut Morin qui détiennent 100 % des parts de l’entreprise.
Impacts positifs
SÉCURISATION DE LA NAVIGATION
Éviter les collisions : le système de balise fixé au container se déclenche lorsque celui-ci tombe à l’eau, facilitant considérablement le repérage et la récupération du chargement, souvent source d’accident en pleine mer.
Lutter contre le terrorisme maritime : les containers à la dérive, suivant leur contenance, peuvent être le support d’attaques terroristes.
Réduire les risques pour les pêcheurs : les containers coulés peuvent être des écueils sous marins pour les filets de pêche qui s’y accrochent.
SEATRACKBOX fournit en effet aux autorités et aux acteurs de la mer les données précises, en temps réel, sur la localisation des containers tombé à la mer, leur donnant les moyens efficaces d’organiser une opération de repêchage ou leur évitement pendant la navigation.
SEATRACKBOX permettra de limiter la pollution en mer en favorisant la récupération des containers tombés à la mer.
Un container dérivant génère plusieurs dangers pour l’environnement marin :
Des milliers de containers souillent le fond des océans, responsables d’une pollution massive ou diffuse déversant pour certains des matières toxiques pour la flore et la faune marine.
Plus grave encore, ces incidents fortuits menacent des aires marines déjà sensibles et protégées.
Les populations littorales sont elles aussi exposées aux déversement dangereux de produit en mer et sur les côtes
Le système SEATRACKBOX permet de repérer les épaves à risques qui pourraient créer de nouveaux dommages au milieu marin.
Par ailleurs, nous sommes engagés dans une démarche d’éco-conception (choix des matériaux, prise en compte d’une comptabilité carbone à différentes échelles, …). Il est, par ailleurs, prévu de mettre en place une filière de retraitement du boîtier seatrackbox en fin de vie.
Les clients propriétaires ou loueurs de containers bénéficieront d’une information sur les containers perdus et connaîtront ainsi ce qu’il est advenu des produits qu’ils contiennent.
Les assureurs pourront identifier les containers à la dérive, éviter les déclarations de vol non fondées et déterminer ainsi les responsabilités.
Les équipages des porte-containers seront assistés dans la détection des chutes et pourront ainsi mettre en place des mesures de prévention.
Tous nos partenaires sont des entreprises du Grand Ouest :
-Inodia, agence de communication à Lamballe (22), assiste SEATRACKBOX dans toute sa campagne de communication notamment sur le web et les réseaux sociaux.
– Leano design, agence de design industriel au Merzer (22), accompagne SEATRACKBOX sur la conception du boîtier, pour faciliter son maniement par l’utilisateur.
– L’institut Maupertuis à Bruz (35) apporte de la méthode à SEATRACKBOX. Il définit un cadre, des limites, aide à la rédaction du cahier des charges… Un regard technique extérieur pour améliorer la compétitivité du produit.
Stratégie
Notre marché
Le marché du transport maritime c’est un volume de 500 millions de containers. Il représente 90 % des échanges mondiaux et augmente de 6 % par an. Une croissance vérifiée depuis plusieurs années et qui ne risque pas de faiblir puisque le prix du trafic maritime est de plus en plus faible : ce mode de transport va donc s’accroître.
Les risque liés à la chute des containers vont donc progresser avec l’intensification du trafic, mais pas seulement :
La taille des porte-containers est de plus en plus importante avec des risques de naufrages par conséquent plus nombreux et de plus grande ampleur.
Les voies de navigation sont de plus en plus fréquentées avec des risques de collision plus importants.
Le réchauffement climatique engendre des conditions météorologiques instables et contraignantes pour la navigation.
La concurrence et notre mode de consommation engendre une pression sur les armateurs : exigence de rapidité dans le transport et dans les délais de chargement/déchargement des containers, accentuant les risques d’une manutention défectueuse.
Notre positionnement
Sur le marché de la sécurité en mer, nous nous positionnons en tant que nouvel acteur, partenaire des grands acteurs du transport maritime.
La géolocalisation précise des containers tombés à la mer, en vue de la récupération, est une problématique récurrente depuis de nombreuses années pour les autorités et les acteurs maritimes. Faute de réglementation, le marché ne s’est toujours pas positionné de manière efficace sur cette thématique mais plusieurs pays dont la France, devant les risques humains et environnementaux croissants, soutiennent l’idée d’imposer une obligation réglementaire à court terme, quant aux moyens de repérage des containers.
SEATRACKBOX se différencie de ses concurrents par sa technologie unique de détection de chute et de géolocalisation en pleine mer. Nous proposons un dispositif inédit pour solutionner le problème de façon réelle et innovante.
Nos clients
Deux cibles principales sont identifiées.
1/ Les clients pour l’achat ou la location du système :
propriétaire de container
locataire de container
2/ Les clients pour connaître la localisation des containers tombés à la mer
Etat
Assureurs
Armateurs (pêche, transport…)
Courses au large
Plaisanciers
Marine marchande
Fabricant de système de navigation électronique
Notre Stratégie commerciale
L’OFFRE
Vente des boîtiers à installer sur les containers
Vente de cartes complémentaires avec les éditeurs de systèmes de navigation (ex : MAXSEA)
Abonnements pour utiliser la plate-forme internet
LA DISTRIBUTION
Le produit sera vendu en direct et par le biais de distributeurs.
Première étape : viser les assureurs du domaine maritime dont l’intérêt est de couvrir le risque de perte et de vol des containers, ou d’avaries causées par ceux-ci. L’idée, c’est qu’ils imposent à leurs clients l’équipement du boitier sur le container afin de diminuer ces risques.
Deuxième étape : faire évoluer la réglementation pour imposer l’installation des boîtiers seatrackbox sur tous les containers. Comme ce fut le cas, par exemple pour les détecteurs de fumée dans les maisons.
LA STRATÉGIE DE COMMUNICATION
SEATRACKBOX développe son propre site internet et son propre compte sur les réseaux sociaux où l’on pourra suivre l’évolution et les innovations de l’entreprise.
La presse sera sollicitée pour mettre en lumière les innovations de SEATRACKBOX et l’équipe participera régulièrement à des salon professionnels pour intéresser les acteurs cibles.
Notre stratégie implique un lien solide avec nos clients-partenaires : assureurs, organisations institutionnelles de sécurité des mers (Vigipole…), constructeurs et loueurs de containers… Chacun est une vecteur fort de recommandation pour notre produit.
Nous nous appuierons sur des ambassadeurs médiatiques et professionnels du milieu maritime ayant été confronté directement à la problématique de la chute des containers en mer : équipages, pêcheurs, course au large, ong, capitaine et propriétaire de porte-containers, associations de défense de l’environnement…
Données financières
►Mode de financement : investissement en royalties – à partir de 10 € ►Durée de l’investissement : 5 ans ►Pourcentage de chiffre d’affaires versé chaque trimestre : 0,8 % maximum (pour 100.000 € levés) ►Rentabilité visée : 24,35 % par an (risque de perte intégrale de l’investissement, gain maximum : x 3) ►Risque : 2,86 / 5 (évalué par les internautes lors du vote)
REVENUS DU PROJET
Notre chiffre d’affaires prévisionnel est établi sur la vente de 1 200 produits en 2018 puis un doublement du chiffre d’affaire chaque année.
VOTRE INVESTISSEMENT
En investissant, vous souscrivez auprès de SEATRACKBOX à une redevance sur le chiffre d’affaires de l’entreprise, proportionnelle à votre investissement. Le total des investisseurs recevra 0,8 % du CA réalisé chaque année pour une levée de fonds de 100 000 €.
Si SEATRACKBOX réalise son prévisionnel, le rendement annuel moyen pour chaque investisseur sera de 24,35 %.
Que se passe-t-il si le prévisionnel n’est pas atteint ?
Au cas où le prévisionnel ne serait pas atteint au bout de 5 ans et où l’activité continuerait, SEATRACKBOX continuera à verser les royalties jusqu’à remboursement total de la somme investie.
A partir de quand commencent les versements ?
La Redevance est cédée sur une durée de 5 ans à compter du 01/07/2018 et sera versée aux investisseurs chaque trimestre.
Tableau prévisionnel des versements :
Dates de versement
Rémunération estimée sur les revenus de :
10/10/2018
juillet, août, septembre 2018
10/01/2019
octobre, novembre, décembre 2018
…
…
10/04/2023
janvier, février, mars 2023
10/07/2023
avril, mai, juin 2023
Attention : ces chiffres se basent sur une estimation de notre chiffre d’affaires. A vous d’évaluer le prévisionnel et la stratégie pour estimer si vous pouvez espérer gagner plus ou moins que le rendement annuel annoncé. N’hésitez pas à nous contacter. Votre risque maximum est la perte intégrale de votre investissement, et vous retrouvez au mieux le triple de votre investissement.
FACTEURS DE RISQUE
Principaux facteurs de risque liés à l’activité et au projet :
Un lobbying important des armateurs pour conserver la réglementation actuelle qui leur est favorable. Notre dispositif, permettra, dans de nombreux cas de faire peser sur eux la responsabilité et donc la charge de sécurisation de la zone impactée par les containers tombés en mer. L’adhésion totale à SEATRACKBOX dépend d’une nouvelle réglementation sur la sécurisation des océans.
La situation financière de la société. Actuellement, avant la réalisation de la levée de fonds de la présente offre, la société dispose d’un fonds de roulement net suffisant pour faire face à ses obligations et à ses besoins de trésorerie pour les 6 prochains mois. Sources de financement à l’étude en lien avec le projet présenté pour les 6 mois ultérieurs : BPI FRANCE, COFACE
Pour recevoir notre business plan détaillé, contactez-nous à contact@seatrackbox.com
Équipe
Cinq types qui ont la mer comme passion commune. Cinq parcours atypiques qui se rejoignent sur le goût de l’innovation et du challenge. Cinq talents associés autour de ces deux particularités pour faire émerger un projet auquel ils croient et sur lequel ils travaillent sans relâche depuis des mois. Cinq hommes réunis par une même ambition et aussi un peu, grâce à leurs enfants, qui fréquentent la même école : les prémices de ce projet prometteur se sont esquissé devant le portail, juste avant la sonnerie de la sortie. Tout un symbole pour SEATRACKBOX, une solution créative pour la sécurité en mer et l’avenir des océans.
Christophe THOMAS – La tête pensante
46 ans, de Saint-Alban. Marié, 2 enfants.
C’est lui qui est à l’origine du projet. Après des études en maintenance et automatisme industriel, amoureux de la mer depuis son plus jeune âge, il s’est formé dans l’industrie nautique. Une spécialisation qui lui a permis de monter son propre chantier naval après avoir travaillé, entre autre, dans l’agroalimentaire ou dans les techniques de transmission et de communication. C’est en lisant un article dans la presse régionale, sur des containers tombés en mer, proche de nos côtes, que l’idée a germée. Curieux, entreprenant, audacieux, il fait des recherches sur le sujet et se convainc qu’il y a quelque chose à faire dans le domaine. Outre le marché qui s’ouvre, cet altruiste voit en SEATRACKBOX. « un intérêt commun pour l’ensemble de la planète en termes de sécurité maritime et d’environnement ».
Thibaut MORIN – L’homme tout terrain 40 ans, de Saint-Alban. Marié, 3 enfants
C’est le chef d’orchestre de l’équipe. Sa formation passe par l’informatique, les finances le commerce et récemment un Master2 en marketing. Il a été formateur, conseiller en gestion de patrimoine, agent immobilier, responsable commercial pour différentes entreprises. Un esprit vif, du bagou, une capacité d’adaptation à toute épreuve en font un élément hardi, jamais à cours d’idée pour relever les défis. C’est lui qui a mis en route la grosse machine SEATRACKBOX grâce à son réseau. Il a rassemblé les forces vives de l’équipe qu’il anime aujourd’hui. « Ce qui m’a plu, c’est que le concept tout simple SEATRACKBOX répond à une problématique réelle et ouvre les perspectives d’un marché énorme ».
Alain BEAUVY – Le businessman 68 ans, de Saint-Alban. Marié, 3 enfants.
Il est chargé de toute la partie juridique et financière du projet. Une maîtrise de sciences économiques et un diplôme de l’Institut des finances et des assurances en poche, il a effectué la majeure partie de son parcours professionnel dans la banque et les finances, à Paris, dont il est originaire. Une petite parenthèse l’a propulsé dans l’industrie hôtelière pendant quelques années en province, en tant que directeur financier. Parce qu’il a « saisi l’occasion ». C’est ce qui caractérise ce retraité qui n’en a que le statut : il a le nez fin pour repérer les opportunités fructueuses. Très actif dans le milieu associatif, il a le goût des choses neuves, des défis à relever. « SEATRACKBOX, c’est une belle idée, un projet excellent, des gens biens. Et au-delà de ça, un magnifique challenge à relever ».
Johann PROD’HOMME – L’expert 41 ans, de Saint-Cast-le-Guildo. Marié, 2 enfants.
Océanographe de formation, il a fondé et dirigé un bureau d’étude de géophysique et de biologie marine avant d’être directeur de recherche et développement. Aujourd’hui, il est consultant pour des projets innovants liés au milieu marin. Il est chargé de toute la partie technique et stratégique du produit SEATRACKBOX. Grâce à son parcours il a accès au réseau des grands acteurs maritimes. Matière grise de l’équipe, passionné par la mer, c’est la dimension environnementale du projet qui l’a d’abord séduit. Pourquoi SEATRACKBOX l’a convaincu ? « L’envie de créer de l’emploi autour de cette problématique maritime récurrente, non résolue depuis des années, grâce au lancement d’une start-up locale ».
https://www.linkedin.com/in/johann-prodhomme/
Patrick MASSON – Le bras droit
33 ans, de Saint-Alban. En couple, 1 enfant.
L’homme à tout faire, l’aide de camp, le soutien indéfectible. Il est multitâche et répond présent dès qu’un membre de l’équipe a besoin de lui. Polyvalent, il a fait des études dans la finance, les assurances, le commerce et il se forme actuellement en marketing, domaine dans lequel il sera particulièrement sollicité par la suite. C’est la spécificité maritime du projet qui l’a séduit. Tombé dans la marmite d’eau salée tout petit, il a même été admis dans la marine nationale où il a failli s’y engager. « SEATRACKBOX, c’est un concept innovant particulièrement exaltant à développer. J’avais la possibilité de participer à la genèse du projet. Je n’ai pas hésité un instant ».
https://www.linkedin.com/in/pmasson/
Statistiques
Les statistiques d'évaluation et d'investissement du projet
Évaluations
141 personnes ont évalué ce projet.
Préinvestissements
Nombre de préinvestissements : 0
Montant des préinvestissements : 0 €
Impact et cohérence du projet
Economie : 3.8
Environnement : 4.1
Social : 3.2
Autres : Sécurité en mer, Risques en mer, Sécurité maritime, Sécurité en mer
Notes attribuées au projet
99 % des évaluateurs ont donné un avis positif (note supérieure à 2)
Sur ces 140 évaluateurs, 69 personnes ont déclaré qu'ils investiraient en moyenne 270.58 €.
Pour un total de 18670 euros d'intentions d'investissement, soit 37.34 % de l’objectif.
ont évalué le risque, en moyenne, à : 2.84 / 5
Remarques
Les internautes aimeraient avoir plus d’informations sur :
Autres informations : Risque concurrentiel, copie, Excellent!, Comment le marché va s'ouvrir à ce produit, la connaissance du marché et des acteurs par les fondateurs., les risques de dérive d'utilisation du produit : pour piller les container (se faire passer pour un/des plaisanciers clients)
Investissements
Général
… investissements validés par
… investisseurs distincts.
Les investisseurs ont … ans de moyenne.
Ce sont …% de femmes et …% d'hommes. -
Investissement moyen par personne : … €
Investissement minimal : … €
Investissement médian : … €
Investissement maximal : … €
Nous sommes heureux de vous informer que le boîtier Seatrackbox est en cours de finalisation. Vous trouverez, en pièce jointe, la fiche technique simplifiée du produit.
Nous allons donc entrer dans la phase de tests, de certifications et de pré-commercialisation. Notre objectif est le lancement en production à compter de septembre 2023.
Parallèlement à la fabrication du prototype, sachez que la réglementation évolue positivement et que le boîtier Seatrackbox est l’unique solution proposée actuellement.
En effet, Le sous-comité en charge du transport de marchandises de l’OMI (L’Organisation maritime internationale) a adopté, le 23 septembre, un projet de texte pour obliger les armateurs à déclarer les conteneurs perdus en mer. Il entrera en vigueur en 2026. (Ci-dessous lien vers articles du 23/09/2022 et 30/09/2022).
Ouverture au capital
Nous allons procéder à une levée de fonds en ouvrant notre capital.
Comment cela va se passer ?
Seatrackbox est accompagné par le cabinet EY Ventury de Rennes, spécialisé dans l’accompagnement des levées de fonds des startups.
Afin de privilégier celles et ceux qui nous ont fait confiance depuis le début de l’aventure Seatrackbox, nous allons lever des fonds en 2 temps :
– Dans un premier temps nous ouvrirons le capital en exclusivité à nos partenaires et investisseurs We Do Good en émettant des BSA AIR (Bons de Souscription d’Actions Accord d’Investissement Rapide, voir document explicatif en pièce jointe) sur une durée limitée de 10 jours (10 jours partenaires, puis les 10 jours suivants investisseurs We Do Good) en leur proposant une décote de 20% sur la valeur des parts.
– Dans un second temps, l’ouverture du capital sera étendue aux « particuliers » et investisseurs institutionnels. Seul les « particuliers » se verront proposés une valeur de part avec une décote de 10% jusqu’au 20 décembre 2022. Après cette date, les « particuliers » pourront continuer d’investir mais sans bénéficier de la décote. Quant aux investisseurs institutionnels, prioritairement des fonds d’investissements déjà identifiés par Seatrackbox et par le cabinet EY Ventury, la levée de fonds se fera de façon classique sur l’année 2023 et ce jusqu’au 30 juin 2023.
Le financement en BSA AIR sera limité au montant maximal de 200.000 € et se finalisera le 20 décembre 2022, date de versement des montants investis.
La démarche à suivre pour se positionner :
Toute personne intéressée devra nous adresser une lettre d’intérêt à l’adresse contact@seatrackbox.com et ce, dans le délai imparti, avec le montant de l’investissement souhaité.
Récapitulatif des étapes de l’ouverture au capital :
Pour qui ?
Dates ouverture au capital
date limite de la lettre d’intérêt
Décote de la valeur des parts appliquée (%)
Partenaires
Du 15/11/2022 au 25/11/2022
25/11/2022
20%
Investisseurs We Do Good
Du 26/11/2022 au 5/12/2022
5/12/2022
20%
Particuliers
Du 6/12/2022 au 20/12/2022
20/12/2022
10%
Particuliers & Investisseurs institutionnels
Du 20/12/2022 au 30/06/2023
30/06/2023
0%
Enfin, dans un souci de transparence et de confiance, nous vous transmettons, également en pièces jointes, notre exécutive summary, qui résume le projet Seatrackbox avec l’explication de notre procédé, la présentation de l’équipe et les chiffres.
L’équipe Seatrackbox vous remercie toutes et tous, pour votre soutien passé et / ou à venir …
Nous sommes dans le magazine Capital pour tout le mois de juin 2021 .
Nous sommes également en levée de fonds si vous souhaitez investir chez seatrackbox , la date limite est le 31 juillet 2021 . ( il faut se rendre sur notre site internet)
Les conteneurs perdus en mer, une plaie pour la ligne régulière
À l’heure où le commerce mondial repart en flèche, si le nombre de conteneurs perdus en mer reste infime considérant le volume total de boîtes transportées, il n’a pourtant jamais été aussi élevé depuis quelques années et reste difficile à résoudre.
Quelque 3.000 conteneurs passés par-dessus bord en 2020, et 1.000 depuis le début de 2021. Le World Shipping Council (WSC) en avait estimé une moyenne d’un peu plus de 1.700 par an sur la période 2011-2020. Sur un total de 226 millions de boîtes transportées, le nombre reste presque anecdotique mais ne passe pas inaperçu pour autant.
Dès qu’un incident se produit dans un secteur où le gigantisme est devenu monnaie courante et qui souffre également des dégradations météorologiques, la moyenne remonte vite. Ainsi en 2013, le porte-conteneurs « Mol Comfort » avait perdu 4.293 conteneurs dans l’océan Indien. Sept ans plus tard en novembre 2020, avec le naufrage du navire japonais « One Apus », 1.800 boîtes ont subi le même sort au large d’Hawaii. En janvier 2021, le porte-conteneurs danois « Maersk Essen » en a perdu 750 sur un itinéraire reliant la Chine à la côte ouest des États-Unis. Le mois suivant, le « Maersk Eidhoven » en a vu passer par-dessus bord quelque 260.
« Les statistiques du World Shipping Council contestées »
« Le chiffre paraît faible par rapport au nombre de conteneurs transportés mais il est préoccupant », reconnaît Jean-Marc Lacave délégué général d’Armateurs de France. « Il y a des enjeux de sécurité, il y a des enjeux environnementaux aussi. Donc il faut tout faire pour éviter de faire tomber ces conteneurs à l’eau ! » Nicolas Tamic, responsable des opérations au Centre de documentation de recherche et d’expérimentation sur les pollutions accidentelles des eaux (Cedre) ne dira pas le contraire, d’autant qu’il conteste les statistiques du World Shipping Council, tout comme plusieurs ONG. « Ce sont les chiffres officiels.
Après, il y a toutes les autres boîtes qui ne sont pas déclarées. Celles-ci tombent au fond de l’eau et on n’en parle plus », déplore-t-il. « On est dans le système du « pas vu pas pris ». On ne les déclare que quand on est vraiment obligé de le faire. » La plupart des chargements coulent, certains conteneurs dérivent et peuvent provoquer des accidents.
Des pertes difficiles à évaluer
« C’est souvent au moment du déchargement du navire qu’on se rend compte qu’il manque des boîtes. En général, les navires sont tellement grands qu’on ne voit pas que les boîtes partent à l’eau », ajoute Nicolas Tamic, estimant les pertes totales jusqu’à 15.000 conteneurs par an. Les plus gros méga-porte-conteneurs affichent aujourd’hui une capacité 24.000 unitées. Là où les choses deviennent plus inquiétantes, c’est que 6 millions de conteneurs contiennent des matières dangereuses sur les 226 millions transportés. Et 1,3 million sont mal déclarés, s’inquiète-t-il.
Les armateurs se joignent aux les ONG pour dénoncer de mauvaises déclarations du contenu des boîtes. Les services américains les estiment trompeuses dans 15 à 20 % des cas, qu’il s’agisse du poids, du contenu, ou des deux. Le Bimco reconnaît de son côté qu’un système de rapport obligatoire est nécessaire pour les conteneurs passant par-dessus bord.
« Cependant, il est tout aussi important d’éviter de les perdre en premier lieu », souligne-t-il. « Pour restaurer la confiance dans la sécurité du transport de conteneurs avec la flotte actuelle (…), d’autres domaines tels que le routage météorologique, la conception du navire et sa propulsion ainsi que l’arrimage doivent être aussi pris en considération. »
Une remobilisation de la chaîne des acteurs nécessaire
« Il faut remobiliser la chaîne des acteurs, du chargeur au manutentionnaire, à l’armateur », insiste Jean-Marc Lacave. Cette chaîne commence au remplissage du conteneur avec de bonnes fixations, à son positionnement sur le navire en fonction de son poids et à la nature du chargement. Autant d’éléments qui doivent donc être bien déclarés pour commencer.
« Notre vocation est bien d’amener les hommes, les marchandises et les navires à bon port. Il faut que le bateau fasse tout ce qui est possible pour éviter les zones de tempêtes, quitte à rallonger le parcours », ajoute le délégué général d’Armateurs de France. Si la profession jure que toutes les procédures sont suivies, certaines voix dénoncent des relâchements dus à la pandémie et à la surchauffe actuelle du transport maritime sur fond de reprise du commerce mondial, en particulier entre l’Asie et les États-Unis.
« Il y a des équipages qui n’ont pas mis pied à terre depuis des mois et des mois », déplore Nicolas Tamic au Cedre. « Ça entraîne une énorme fatigue, des erreurs dans le chargement et dans la navigation ». L’Assureur Allianz Global Corporate & Speciality (agcs) estime quant à lui que l’erreur humaine est à l’origine de trois quarts des accidents maritimes.
En réponse à l’augmentation spectaculaire des pertes de conteneurs en mer au cours de l’année écoulée, le Comité de la sécurité maritime de l’Organisation maritime internationale a débattu de la question lors de sa récente réunion. Convenant que la perte de conteneurs en mer représente un danger potentiel pour la sécurité maritime et constitue une menace pour l’environnement, le MSC de l’OMI a pris des mesures initiales axées sur la détection et la déclaration des conteneurs perdus. L’OMI a déclaré qu’elle s’efforcerait également de s’attaquer aux efforts visant à prévenir la perte de conteneurs et à restaurer la confiance dans les pratiques d’expédition de conteneurs.
Le comité a soulevé une série de préoccupations au cours de sa discussion qui portait sur la perte de plus de 3 500 conteneurs au cours des derniers mois dans l’océan Pacifique. Le One Apusa été la perte la plus dramatique, les représentants du navire rapportant que plus de 1 800 boîtes ont été perdues dans le Pacifique le 30 novembre en raison de ce qu’ils ont dit être de la haute mer. Les inspecteurs et analystes des consultants en réclamations de fret WK Webster ont rapporté que sur les 22 baies sur le pont, seulement six semblaient avoir survécu intactes. Avec 20 rangées par baie et avec des hauteurs de pile de 6 à 8 niveaux, Webster a estimé qu’environ 2 250 conteneurs étaient potentiellement touchés. Comme le navire transportait principalement des caisses de 40 pieds, Webster a noté que cela équivalait à environ 4 500 EVP. Il a fallu près de quatre mois au navire pour récupérer et remettre en service.
Résumant la discussion du comité de l’OMI, l’association professionnelle de l’industrie BIMCO a indiqué que l’OMI convenait que les causes pouvant conduire à la perte de conteneurs en mer varient. Cela peut être dû à de mauvaises conditions météorologiques ou à de fortes vagues créant une instabilité à bord. Les inspecteurs de la société de classe, les assureurs et les représentants des réclamations de fret examineront également les pratiques de chargement, l’équipement et la conception des navires. Les associations de fret citent également les dangers des conteneurs mal déclarés et en surpoids.
Quelles qu’en soient les causes, le comité de l’OMI affirme également qu’il est difficile d’avoir des chiffres précis sur le nombre de conteneurs perdus. Ils ont souligné en particulier que la visibilité des conteneurs depuis le pont peut être limitée par les conteneurs eux-mêmes, et que seuls les étages supérieurs et les baies les plus proches peuvent être vus. Ils ont discuté des dangers de pollution, notamment en ce qui concerne les plastiques dans les conteneurs.
Lorsqu’une pile de conteneurs relativement éloignée s’effondre, il est difficile de déterminer immédiatement et précisément combien de conteneurs sont impliqués et quand ils sont tombés, a déclaré le comité. Ces événements se produisent généralement dans des conditions météorologiques défavorables qui empêchent une enquête immédiate sur place. Pour l’équipage, il est extrêmement dangereux de marcher le long de piles de conteneurs instables.
Le MSC de l’OMI a donc accepté, selon BIMCO, d’initier de nouvelles mesures pour détecter et signaler les conteneurs perdus en mer, ce qui pourrait améliorer le positionnement, le suivi et la récupération de ces conteneurs. L’OMI a accepté de mettre en place un système obligatoire de déclaration des pertes de conteneurs et de mettre en place des moyens à bord pour identifier facilement le nombre exact de pertes.
Avec un tel système, les navires sont tenus de signaler la perte de conteneurs par une procédure normalisée, détaillant éventuellement, par exemple, l’identification, la cargaison transportée (en particulier les marchandises dangereuses ou les substances nocives), ou si ces conteneurs peuvent flotter et constituer un risque de collision. avec des navires et des bateaux.
Au cours des deux prochaines années, BIMCO affirme que l’OMI développera également des mesures destinées à atténuer les chutes de conteneurs dans la mer et à rétablir la fidélité dans la sécurité du transport de conteneurs avec la flotte actuelle.
L’aventure Seatrackbox continue. Notre boîtier permettra de sécuriser l’espace maritime tout en ayant un impact environnemental non négligeable.
Notre prochain objectif est de lancer la commercialisation au premier semestre 2022. Plusieurs d’entre vous nous ont sollicités pour savoir comment soutenir le projet.
Nous mettons en place une nouvelle campagne de crowdfunding afin de trouver des financements pour finaliser le prototype et faire les tests pré-commercialisation.
La première levée de fonds (2018) nous a permis d’injecter 52 000€ dans le développement du projet. Pour ceux et celles d’entre vous qui nous ont soutenu à l’époque, sachez que votre contrat est prolongé de 2 ans.
Et pour tous ceux d’entre vous qui souhaitent rejoindre l’aventure, rendez-vous sur la plateforme d’investissements participatif We Do Goodwww.wedogood.co/seatrackbox2/, où toutes les modalités de participation ainsi que le système de rémunération sous forme de royalties vous seront expliqués.
Vous hésitez à investir mais vous êtes aussi convaincus par l’utilité de notre projet ? Sachez qu’il n’y a pas de petite participation (elle commence à 10 €), c’est un projet né du collectif et qui verra le jour grâce au collectif. (Nous avons déjà 40.000€ de promesse d’investissement)
Encore merci à vous tous. Vos messages de soutien renforcent notre motivation.
N’hésitez pas à diffuser notre message et à parler de Seatrackbox autours de vous.
Notre newsletter a subi comme, notre projet Seatrackbox, le contrecoup de la crise sanitaire : annulations, reports, ralentissements… Mais nous avons continué d’avancer, contre vents et marées…
Lors de notre dernier courrier, nous vous annoncions notre participation au siège de l’OMI (Organisation maritime internationale), sur l’invitation du ministère de la transition écologique, secrétariat d’état chargé du transport, le 14 mai 2020 à Londres. L’événement, en raison de la pandémie, n’a pas eu lieu, mais nous attendons une nouvelle date pour juin prochain. Si la pandémie empêchait à nouveau ce rassemblement international, il serait reporté à l’automne. Quoi qu’il en soit, nous avons en main un courrier d’intérêt de leur part qui appuie le projet auprès des autorités mondiales. « Les récents accidents, la sensibilité de l’opinion publique et la prise en compte croissante des compagnies d’assurance ou de la commission européenne pour ces sujets [perte de conteneneurs, évolution de la réglementation sur la pollution du milieu marin] semblent offrir un terrain favorable à l’émergence de systèmes tels que celui que vous proposez », écrit Marc Léger, adjoint au sous-directeur de la sécurité maritime. « Cet événement [le siège de l’OMI] permettra d’appuyer des soumissions françaises devant l’OMI mais également d’échanger et de promouvoir Setrackbox auprès des délégations des États ».
Autre point ultra positif dans l’aventure Seatrackbox : nous avons été contactés par CLS Novacom, expert mondial en gestion de flottes connectées. Depuis plus de 15 ans, CLS propose ses services de géolocalisation et de gestion de flotte aux professionnels de différents métiers dans le secteur du transport et de la logistique. Elle vient de lever 100 000 millions d’euros pour mettre 24 nanosatellites en orbite en 2022. Dans le cadre d’une offre globale à ses clients, cette société internationale contacte différentes startups pour une éventuelle collaboration, et elle a choisi Seatrackbox, très intéressée par la commercialisation du produit ! Une prise de contact qui a été facilitée grâce à notre participation à l’OMI.
Seatrackbox devrait pouvoir commencer à commercialiser son boîtier à partir du 1er trimestre 2022. Nous avons donc pris une année de retard par rapport aux dates initialement prévues, en grande partie à cause des ralentissements dus au contexte sanitaire. Mais nous avons bien avancé sur le prototype que nous serons en mesure de vous présenter après l’été.
Et, comme vraiment, nous n’avons pas chômé pendant cette année 2020 un peu particulière, nous venons d’obtenir le Trophée Innovation Océan, organisé par la Banque populaire du Grand Ouest : il valorise les structures qui déploient des solutions innovantes dans le domaine maritime. Une remise des prix qui a eu lieu en visio, la semaine dernière.
Pour le moment, notre attention se porte sur la levée de fond qui a commencé le 1er avril et qui devrait justement permettre de financer la finalisation du prototype. Nous avons besoin d’environ 50 000 €. La levée de fond, lancée sur la plateforme web Wedogood bloque le premier pallier à 35 000 € et fixe un plafond à 100 000 €.
Nous avons également déposé un dossier d’aide à la faisabilité à la BPI qui pourrait nous octroyer jusqu’à 50 000 € de subvention.
Nos yeux et ceux de nos partenaires sont actuellement rivés sur la levée de fond et la mise au point du prototype. Nous étions encore réunis, il y a quelques jours pour revoir le timing et élaborer le planning de commercialisation. Autour de la table nous comptons désormais avec Thomas Roc de Electric Brain pour la partie logiciel et gestion des données, Vincent Bénistant de Seretudes, dessinateur et projeteur de bureau d’étude en mécanique, Sébastien Amiot de Saméa Innovation, technicien en radiocommunication et conception électronique, Vincent Beaucourt de Leano design spécialiste du design industriel, et Sébastien Ernot de Jalis Meca atelier d’usinage, photonique et mecatronique, Antoine GUILLAUME – INODIA Agence de communication.
Dans la prochaine communication, qui vous parviendra pour l’été, il sera principalement question du prototype qui devrait être bien avancé.
Depuis 5 ans que l’aventure Seatrackbox a été lancée, nous avons fait des pas de géant. De nombreux obstacles se sont dressés, même les plus inattendus avec cette pandémie qui a mis un sacré coup de frein à notre progression. Mais chaque fois nous les surmontons. Nous croyons à notre projet. Les retours, les mains tendues, les succès et les trophées sont là pour prouver que nous suivons toujours le bon cap. Vous pouvez compter sur notre ardeur et notre ténacité pour aller au bout de l’aventure. Merci de votre aide et de votre confiance.
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